Le Clan des Otori

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    Les dernières larmes d'un nourrison

    Naohiro Kuroda
    Naohiro Kuroda


    Messages : 40
    Date d'inscription : 18/06/2010

    Feuille de personnage
    Choix de vie: Voie de la Tribu Voie de la Tribu
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    Message  Naohiro Kuroda Ven 18 Juin - 17:23

    Une brise douce caresse mon visage, accroupi dans l'ombre d'un porche j'attend. Combien de fois n'ais-je pas vécu de telle moment, je suis dans mon élément, je pourrais attendre encore des heures si il le fallait. Mais ce ne sera pas néscésaires. Je prépare ce coup depuis longtemps déjà. Non que je reçoives un grosse somme d'argent, mais plus part intêret personnel. En fait, mon seul motif est la vengeance. Depuis que le seigneur Noguchi à eut un fils légitime et n'ayant plus besoin de moi, m'a jeté dehors, je prépare une vengeance.
    Le jour est enfin arrivé. Cet acte ne ressemble en rien aux veangeances, plus cruelle les une que les autre mais elle me suffira pour l'instant, et, j'en suis sur, il ne sera pas le seul.
    Je me délècterai non seulement du macabé encore chaud dans mes bras, mais aussi de la souffrance et de la peur que j'infligerait à leurs familles en les tuants un à un, tous, jusqu'au dernié. Je fut secoué d'un frisson de plaisir à l'idée de ces jouissances.
    Les pas lourds des gardes résonnèrent sur les pavés.
    C'était le signe que j'attendait, entre une heure du matin et le levé du soleil (heure de relève de la garde) les effectifs de gardes sont au plus bas. Les noguchi se croivent intouchables avec leurs alliences matrimoniales avec les Tohan.
    La Tribu serait généralement contre mon project mais je crois pouvoir conter sur mes cousins et cousines pour l'apaiiser.
    Nous autres, Kuroda, somment avec les Muto probablement les deux familles les plus souples au niveau des règles imposées. Je pense que sans cela j'aurai été tellement battut que je serai un portier bossu, innutilisable.
    La sentinelle est passées, je m'élances vers les murs du chateau que je franchis avec aisence. Non seulement je suis un des meilleurs espions (aureusement pour moi car malgré mon éducation guerrière je n'ai aucun talent avec les lames, enfait, mes seules armes sont le poison, la surprise, dans quel quas j'utilise la cordelette de préférence, les armes de lancées telles que un simple couteau ou alors un nunchaku et enfin une arme plutôt râre, une chène ou est attaché une lame à l'un d'est bous. Je ne suis pas mauvais pour un Kuroda mais comparez moi à un Kikuta ou un Muto et vous comprendrez ma faiblesse.) mais, en plus ce n'est guère plus d'un murêt. Je retombe souplement de l'autre côté. Je suis dans la cours intérrieure, d'un côté se dresses la toure de garde, de l'autre le logement des serventes et la demeure Noguchi.
    Dont j'esqualade la façade. Si mes souvenirs sont bons il est probable que ma sible soit dans la chambre de la fenêtre à ma gauche au deusièmes étages.
    Ma sible est l'enfant du fils aîné du seigneur Noguchi.
    Le fils de la personne qui m'a éjecté de ma demeure, un mince sourrir étira mes lèvres.
    J'accélerai mon ascention.
    C'est portée par la joie et l'envie dans découdre que je pénêtre dans la pièce.
    Un berceau a été placé dans un coin. Mon but est si proche...
    Mais je ne laisse pas oublier pour autent toutes ces anées d'apprentissages au sein de la Tribu.
    J'écoute.
    Des gens approchent. Je grimpe rapidement sur le mur qui, à mon grand soulagement est suffisament fissuré pour offrir des prises faciles et nombreuses. Je parvins à me m'intenire juste au dessus de la porte.
    Il était temps!
    La porte souvre, une servante et un garde entre enlacé. Tout deux s'allonge sur un lit que je n'avais apperçu. La servente doit être la nourice.
    Je saute au sol sans un bruits. Par la porte toujours ouverte j'apperçois la lance que le garde à laissé là. Je la prend, je reviens dans la chambre.
    Je ferme soigneusement la porte dérniére moi.
    Le garde et sa concubine, absorbé par leur ébats, n'ont rien remarqué.
    Je leur laisse un dernier baiser avant que la lance ne traverce, leur gorge d'un seul et même mouvement.
    Désormait j'ai les mains libres pour m'occuper de l'enfants. Je me rapproche du petit.
    Il ne doit pas avoir un an. Roulé en boule à sucer son pouce avec ses petites mains et sa tignasse toufue, il aurait adoucis n'importe qui, même un Kikuta. Moi aussi, je suis attendrit. Mais je n'ai pas fait ce chemin pour rien.
    Alors je décide de l'amoché un peu, histoire qu'il m'attendrisse moin.
    Je placque ma main sur sa bouche, et avec une lenteur appliquée je lui arrache ses dents, une par une. Je sens sa poitrine se soulever violament ses larmes ruissèlent sur ma main.
    Moi, je sourri, voilà ma vengeance, voilà la malédiction des Noguchi.
    Quand il ne reste plus de dents je lui arrache les ongles, j'entreprend de lui casser les doits mais, déjà, sa poitrine ne se soulève plus, plus jamais elle ne se soulèvera.
    Je prend son cadavre dans mes bras, je redescent.
    Une foix dans la coure je plante la lance, que j'avais jeté depuis la fenêtre afin de pouvoir descendre plus librement et plante la hanse dans le sol et emproche le nouveau né avec la pointe. Quand je repartis, je n'eus aucun de problème avec les patrouilles qui avaient acouru dés que la première passant par la cours avait vu le cadavre empallé.
    Je disparais dans l'ombre des rues étroites

      La date/heure actuelle est Ven 10 Mai - 14:49