Après un long voyage

Des heures durant il'a marché vers l'Ouest, fuyant non seulement les éventuelles battues des Noguchi mais plus encore les foudres de la Tribu, si son retard continuait ainsi à se prolongé, la Tribu verrait certainement le lien entre son escapade et l'assasinat du nouveau né Noguchi.
La nuits, sombre, englobait déjà le monde quand, enfin il arriva au porte de Schiragawa.
Il tata sa bourse, il ne restais pas grand chose, trop peu pour une auberge en tout cas.
Ces derniers temps ont été dur pour la tribut, la paix reigne et les employeurs son quasi inexistant.
Mais comme tous bon Kuroda, il sait que l'argent ne manque jamais, il suffit de savoir où le trouver.
Et le moyen le plus rapide de sans proquré est bien celui de prendre la bourse d'un autre.
il se dirigea désidé ver l'auberge, il est plus facil de délier les langues et les bourses autour d'un bon verre.
Dans la pièce il régnait une athmosphère pour le moin annimée, des cris, des combat de soulard, du vomis.
Déscidément ce voyage lui plaisait, il s'amusait de plus en plus.
Non loin du comptoirs, un homme avait l'aire un peux moin soul que les autres.
Avec résignation il se dirigea vers lui.
Une foix au côté de l'homme il demmanda gauchement en lorgnand sur la bourse de son interlocuteur:
-"Veuillé m'escusé mais, que faites vous dans ces régions? Les hommes en armes sont rares dans ces régions."

- Je suis en mission diplomatique. Les hommes en armes manque ici tu veux dire, regardez moi c’est ivrogne, je te les engageraient tous si il le fallait pour en faire de vrai combattants. Et vous que faite vous dans cette région et a cette heure là ? Vous n’êtes pas d’ici a e que je voit.

Il se tourna vers le comptoir et commanda un troisième verre.
La taverne était a moitié. Pour la plus part c’étaient des fermiers ou marchands du coin. Pendant qu’il commanda son verra sa bourse tomba sur son coter gauche sous les yeux de Naohiro.

Naohiro vit alors la belle bourse du mystérieux étranger dépassée, l'occasion était trop belle, et la tentation trop forte. Il la prit sans que sa victime ne s’en aperçoive.
Avant de répondre vaguement:
-Je viens d’assez loin en effet. Je suis un marchand ambulant et je compte établir mon commerce quelques temps dans cette charmante ville pleine de gens sympathique et généreux.
Ce dernier mot avait été prononçé avec une pointe d'ironie.

La conversation continua pendant un temps. Ils s’échangèrent quelques brèves histoires vécu ou entendu dans les tavernes du coin. La nuit était déjà bien entamée.
Les deux personnages se dirent au revoir et Naohiro se dirigea d’un pas léger mais rapide vers la sortie. Trop tard. Rintaro l’empoigna par le col et lui mit l’épée au niveau du ventre.
La tension monta d’un cran dans la taverne …
Rintaro resserra sont étreinte. Il plongea sont regard dans celui qu’il allait bientôt tuer. Il ne vit aucune peur dans ses yeux, bien au contraire. Il fut prit doute.
« Un regard comme celui là, c’est forcément quelqu’un de la tribu, si il ne l’ai pas alors je le tuerait aisément ». D’un ton sec il lança :

- Tu es de la tribu ? J’ai besoins de tes talents.

Il le relâcha et le fit s’assoir. Il commanda deux verres au bar puis entama son récit. Il lui raconta tout sur son père et sa disparition, et comment le pouvoir des Araï s’éloignait de lui de jour en jour. Il n’y avait plus grand monde dans l’auberge. La discussion fut longue.

- Je te donne un laissé passer signé de ma main pour aller a kumamoto. Va je te rejoindrais la bas dans une semaine. J’ai une mission à finir avant.

-Vous rejoindre?
Lui qui s'apprétait à avaler une capsule de poison, il fut bien dépourvu.
Dans son regard, Naohiro lit une détermination sans faille.
Cet homme n'ésiterai pas un instant à le tuer, pas comme un de ces Otori.
"je me demmande bien quel clan peut envoyer ainsi ses guerriers dans ces régions où les allience garantisent une paix sans failles et lequel peut avoir besoin de la Tribu en ces temps de paix.
Probablement une affaire personnelle.
Il est clair que j'ai tout interret à accepter.
Mais, les seigneurs n'ont pas à nous donnez des ordres, sans argent en tout cas."
Ayant observé le soldat durant toute la soirée, Nahoiro n'eut aucun mal à comprendre que la boisson lui avait privé d'une partie de ses talents.
Discrètement,il saisit l'un de ses couteaux, de l'autre main il glissa le laisé passer dans l'une des nombreuse poches de sa vestes. Calmement, il continua a parler. L'auberge, désormait vide, était devenue silencieuse.
En fin, l'aubergiste s'exusa de devoirs s'absenter quelque minutes, le temps de chercher d'avantage de bouteilles pour cet insasiable guerrier. il agit alors. Avec rapiditée il se leva, et envoyait son couteau qui passa à un pouce du visage de son nouvel employeur, il vit une méche de ses cheveux tomber tandis que son couteau allait se figer sur la poignée de la porte de la taverne. Il n'attendit pas sa réaction, Il s'élança pour quitter l'auberge en récupérant son poignard au passage.
Dans cette ville aussi, il ne pourra s'attarder, le repos attendra.
Mais désormais, il a un nouvel objectif.